terça-feira, 22 de setembro de 2015


Os emigrantes ressuscitam as fronteiras



François Marcilhac

La gestion par l’Allemagne des flux migratoires en provenance de Syrie, lesquels ne font que s’ajouter à ceux de la Libye, qui ne se tarissent pas, témoigne, s’il en était besoin, du fait que, contrairement à ce qu’on entend ici ou là, loin de penser «européen», ...

… chaque Etat membre de l’Union conduit en temps de crise la politique qui lui semble, à tort ou à raison, c’est une autre affaire, la plus conforme à son intérêt — du moins lorsque cet Etat est gouverné par des dirigeants dignes de ce nom, ce qui n’est plus, depuis bien longtemps, le cas de la France. Les media de l’oligarchie ne cessent de déplorer l’attitude des pays qui refusent d’accueillir ces «migrants», dont ils doutent à bon droit, du reste, de la qualité de réfugiés, et déplorent leur prétendu égoïsme, avec ce moralisme propre au projet européen — ainsi Juncker, le président de la Commission européenne, a déclaré dans son discours «sur l’état de l’Union», le 9 septembre, qu’ «il est temps de faire preuve d’humanité et de dignité», en accueillant tous les réfugiés qui se présentent.

Accuser d’égoïsme les gouvernants qui pensent en premier lieu au bien de leur peuple, comme c’est leur devoir, et le proclament ouvertement, c’est oublier un peu vite que c’est l’Allemagne, qui, la première, a donné le signal d’une attitude strictement nationale en décidant unilatéralement d’un accueil massif dont elle savait fort bien que ses partenaires auraient ensuite à supporter les conséquences en termes d’appel d’air et de masse. Oui, Merkel a cherché et cherche toujours à imposer sa politique aux Vingt-Huit, pensant, à tort manifestement, que parce qu’elle a à sa botte le dirigeant de la première puissance militaire et de la deuxième puissance économique de l’Union — en l’occurrence Hollande —, elle ne ferait qu’une bouchée d’Etats plus petits. Que Merkel ait été la plus nationaliste dans l’affaire, il ne viendrait à l’idée ni de nos journalistes béats devant la nouvelle icône des droits de l’homme, ni évidemment à des hommes politiques complices de sa politique, de le dénoncer. Merkel accueille: tous les Etats européens doivent accueillir; Merkel ne peut ou ne veut plus accueillir et suspend Schengen en rétablissant des contrôles à ses frontières: c’est la faute de ses partenaires qui ne l’ont pas suivie et refusent la politique des quotas, c’est-à-dire de répartition obligatoire des clandestins, politique qu’Hollande avait dans un premier temps lui-même refusée, avant de se coucher, comme d’habitude. Et dès lors de brandir des menaces, avec une suffisance qu’on n’aurait plus cru possible — ou du moins que n’imaginaient plus possible les naïfs qui croient encore à un quelconque progrès moral de l’humanité, y compris dans les relations entre Etats, un progrès moral qu’incarnerait justement l’Europe institutionnelle. N’a-t-elle pas osé répondre, le 31 août, avec un humour typiquement germanique, semble-t-il, lors d’une conférence de presse, à une question sur d’éventuelles sanctions contre les pays réticents à une répartition: «Je ne veux pas sortir maintenant tous les instruments de torture»? Or ces pays, situés essentiellement en Europe centrale et orientale, sont ceux qui ont toujours le plus souffert de l’expansionnisme allemand et dont un des prédécesseurs de Merkel avait fait, en quelques années, des protectorats avec la même passive complicité d’une république française, incapable à l’époque comme aujourd’hui, de concevoir les rapports internationaux comme des rapports de forces — ce que, pourtant, ils n’ont jamais cessé et ne cesseront jamais d’être —, rapports dans lesquels l’idéologie, hier le pacifisme bêlant du briandisme, aujourd’hui le droit-de-l’hommisme mercantile de l’oligarchie européiste, jouent le rôle d’anesthésiants.

Certes, l’échec, ce lundi 14 septembre, de la réunion des ministres européens de l’intérieur sur les quotas, montre que Merkel a sous-estimé la résistance de nations qui ne s’en laissent pas compter, au regard tant de leur histoire que de leur capacité d’absorption: une capacité d’absorption non seulement économique, mais également culturelle et religieuse, de flux d’allogènes disposés à tout, sauf à s’intégrer à des pays qui, en les accueillant avec une générosité confinant à la niaiserie, ne pourraient susciter que leur mépris. Toutefois, Merkel n’a rien lâché: Thomas de Maizière, son ministre de l’intérieur, a déclaré à la chaîne publique allemande ZDF, mardi 15 septembre, que les pays qui refusent les quotas, «souvent [...] reçoivent beaucoup de fonds structurels» européens. «Je trouve aussi juste (...) qu’ils reçoivent moins de moyens», a-t-il poursuivi en approuvant la proposition formulée en ce sens par Juncker.

De fait, si Juncker et Merkel sont la main dans la main, Hollande jouant les utilités, c’est que l’idéologie de l’accueil leur sert à tous deux d’anesthésiant pour contraindre les peuples à accepter une politique d’immigration qu’ils jugent conforme, la seconde à l’intérêt d’une Allemagne vieillissante mais encore forte de plus de 80 millions d’autochtones et qui, pense-t-elle, saura sans trop de préjudice, absorber cette main-d’œuvre étrangère, le premier à celui d’une Union européenne sans autre identité que le consumérisme. En bon négrier mondialiste, Juncker, toujours dans son discours sur l’état de l’Union, n’a pas omis de préciser: «La migration doit cesser d’être un problème pour devenir une ressource bien gérée».

L’Europe n’existe pas. Elle est et demeure un mythe. La Pologne, la Hongrie, la Tchéquie ou la Slovaquie — le groupe de Visegrad — mais aussi le Danemark, la Lettonie ou la Roumanie, ne doivent pas être montrés du doigt : leur refus ou leur manque d’empressement est le témoignage d’une identité forte, qu’ils doivent à une histoire riche, souvent dramatique. Leur nationalisme défensif face à l’invasion n’est que l’expression de leur bonne santé morale. Persévérer dans l’être, tel est aussi l’objectif de Merkel, mais avec ce nationalisme agressif propre à la culture allemande qui, le plus souvent, fut aveugle sur ses propres intérêts. Bruxelles, qu’elle co-dirige avec la Commission européenne, tout à son universalisme matérialiste hors-sol, sert pour l’instant sa politique. La Grèce et l’Italie, quant à elles subissent, avec pour seul objectif de s’en sortir le plus rapidement possible. Seule la France, asthénique, joue un jeu «européen», l’Europe ayant toujours été, pour ses élites, l’autre nom du renoncement.





segunda-feira, 21 de setembro de 2015


Não deixa de ser Syriza quem quer


Rui Ramos, Observador, 21 de Setembro de 2015

O PS pode não querer ser o Syriza, mas ninguém deixa de ser o Syriza só porque quer. Todos os caminhos de António Costa vão dar a Atenas.

Tsipras ganhou. Mentiu aos gregos, causou um terceiro resgate, reduziu o governo a uma delegação de Bruxelas, e inspirou a maior abstenção eleitoral de sempre. Mas que importa? Ganhou. Vai a nossa oligarquia resistir a este exemplo?

Não vai. Às vezes, diz-se que não temos um Syriza em Portugal. Pois não. Mas isso não quer dizer que não tenhamos quem faça de Syriza. Aos olhos da Europa, do Daily Telegraph de Londres ao Ekathimerini de Atenas, não há dúvidas: o PS de António Costa, por mais diferente que seja a sua história, joga agora na liga do Syriza de Tsipras. Que define o Syriza? A asserção de que é possível permanecer no euro sem consolidar as contas públicas e aumentar a competitividade da economia. Que diz António Costa? Exactamente a mesma coisa. Para ele, o único problema de Portugal é este governo, que teria usado a troika para encobrir a decisão de empobrecer o país. Foi o que repetiu nos debates com Passos Coelho. Costa fez assim da eleição de 4 de Outubro um referendo equivalente ao referendo de Tsipras de 5 de Julho. Não haja ilusões: uma vitória de Costa seria interpretada pelos investidores internacionais como um repúdio do ajustamento e das reformas. Não deixaríamos de o constatar pelos juros da dívida pública no dia seguinte.

Mas dir-me-á o leitor: António Costa não é «tonto». Quer apenas ganhar as eleições. Uma vez no governo, teremos outro Costa, realista e razoável. Talvez, mas acontece que o caminho não é apenas algo que fazemos: é também algo que nos faz a nós. Costa optou por uma oposição à maneira do Syriza. Se ganhar assim, irá precisar, para justificar uma viragem no governo, do mesmo género de drama e pressão externa que Tsipras arranjou para cobrir a sua reviravolta. O país pagará. Mas se em vez disso, Costa optar pela negação fria do que prometeu na oposição, o custo não será menor.

O Syriza dividiu-se. Vai o PS manter-se unido sob um Costa «austeritário»? E sem maioria absoluta, com quem vai governar e fazer passar cortes e reformas? Com o PCP e o BE? Mais uma vez, alguém dirá: não há problema, a direita ajuda. Acontece que uma vitória de Costa, nestes termos, teria muito provavelmente um efeito perverso. Na passada semana, Costa jurou que em nenhumas circunstâncias viabilizaria o orçamento de um governo minoritário da coligação, seja esse orçamento qual for, e sejam quais forem as consequências para o país. Ou o país lhe entrega o poder, ou ele entrega o país ao caos. Vai a direita, se for vencida neste ambiente sujo de chantagem, conformar-se com um papel de auxiliar bem comportada do governo de Costa? Ou, pelo contrário, será tentada a aprender com Costa? Porque é que o PSD e o CDS, perante um PS minoritário, não haveriam de fazer tudo para lhe dificultar a vida, de modo a poder suceder-lhe numa muito próxima eleição? É duvidoso que algum líder da direita consiga levar o PSD ou o CDS a ajudar o PS. Chegaremos assim, por outra via, à situação da Grécia. Todos os caminhos de Costa vão dar a Atenas.

António Costa tem a sua carreira política em jogo. Decidiu, por isso, ganhar estas eleições a todo o custo. Tsipras mostrou-lhe como se faz: prometer tudo na oposição, para depois, uma vez no governo, explicar que a Europa afinal não consente. Como uma espécie de imperador Nero da democracia, está disposto a deitar fogo ao regime só para entrar em São Bento. Uma vitória sua a 4 de Outubro começaria a apagar a diferença principal entre Portugal e a Grécia. Até agora, houve em Portugal uma maioria parlamentar estável e coerente para sustentar a consolidação orçamental e as reformas estruturais necessárias para manter o país no euro. Como ninguém quer sair do euro, essas condições internas teriam de ser substituídas, como na Grécia, por condições externas, isto é, por um diktat de Bruxelas. O PS pode não querer ser o Syriza, mas ninguém deixa de ser o Syriza só porque quer.






Obviamente, voto Passos


Maria de Fátima Bonifácio, Público, 16 de Setembro de 2015

Costa pensa com a cabeça keynesiana do século XX, quando havia fronteiras, alfândegas e moeda nacional. Passos pensa na globalização do século XXI, que rege um mundo sem distâncias e que já não dorme.

A minha decisão está tomada desde a «demissão irrevogável» de Paulo Portas (Julho de 2013). Passos Coelho confirmou-se como um primeiro-ministro à altura de situações de emergência, depois de durante dois anos já se ter mostrado à altura de situações de desespero.

Herdou do anterior governo socialista uma situação desesperada. Estava-se a um pequeno passo da bancarrota. Na altura, toda a gente sensata e responsável viu no apelo à Troika o único meio de evitar que o Estado, sem acesso aos mercados, cessasse pagamentos a funcionários, pensionistas, fornecedores e credores.

O PSD e o CDS, e também o PS, acharam que esse apelo era indispensável e urgente. Sócrates, o «animal feroz» atacado de lunatismo terminal, opunha-se – sem vislumbre de solução. Muita gente, incluindo o seu ministro das Finanças, instou com ele. Mário Soares disse depois ao Público: «Eu queria que ele pedisse o apoio e ele não queria. Discutimos brutalmente.»

No debate televisivo do dia 9, António Costa teve o supremo despudor de afirmar que fora Passos quem chamara a Troika. A mentira, descarnada, é imprópria de um candidato a primeiro-ministro; e autoriza que o achemos capaz de tudo. Frente a frente estavam dois homens de carácter muito diferente.

Ouço e leio que no debate se falou demasiado do passado. Qual é o espanto? É também o passado que nestas eleições vai a julgamento; é o descalabro de José Sócrates e seus acólitos que vão a juízo; são as responsabilidades do Partido Socialista que estão em causa. Não há como fugir a isto.

Porque foram os danos que «isto» infligiu ao País que determinaram a «austeridade» que Passos se viu obrigado a administrar. Pagou em impopularidade pelos erros dos outros. Tornou-se o culpado de tudo, incluindo a meteorologia. O PS, tão sensível ao sofrimento do povo, cobrava ânimo a cada medida dolorosa, a cada notícia tormentosa: quanto pior, melhor – aqui residia a sua possibilidade de redenção.

Não só aqui: também na arte de incutir no público a ideia caricata de que Passos sofria de sanha punitiva e fanatismo neo-liberal; sadismo e cegueira ideológica, portanto. Esta propaganda mendaz foi fazendo o seu caminho. Muita gente se convenceu de que a «austeridade» era afinal desnecessária e contraprodutiva, pois abismaria Portugal numa infindável e suicida «espiral recessiva».

Também o zelo em obedecer à diabólica Sra. Merkel e o gosto de vergar a cerviz perante a «Europa» eram desnecessários e um sinal vergonhoso de cobardia: Passos não ousava elevar Portugal à altura da sua relevância no concerto europeu. Surgiu o Syriza para dar a Merkel uma lição de humildade, e a Passos uma lição de patriotismo, coragem e dignidade. O «conto de crianças» acabou abjectamente, como qualquer pessoa sensata logo podia prever.

António Costa prescindiu da sensatez e preferiu apaziguar a sua cauda de radicais dentro do PS e olear as suas relações com a extrema-esquerda, que sonhava vir a amestrar e a usar. Festejou com entusiasmo a vitória do Syriza e saudou os ventos de mudança e bonança que os valentes gregos soprariam na Europa. Com o colapso do colosso grego, mudou de discurso e de rumo. É um líder que navega ao sabor das marés.

Há muito que ninguém se atreve a falar em «espiral recessiva». Há muito que a Troika partiu; Portugal fez uma saída limpa. Quem disse que era fácil e faria melhor, que se apresente. Todos os indicadores importantes melhoraram; o desemprego caiu de 17,1% para níveis inferiores aos da pré-crise, 11,9%. O PS – do PC não vale a pena falar – desvaloriza, porque os números o deixam destrunfado. Nada me parece mais natural e necessário do que lembrar e reivindicar o mérito pela limpeza do ajustamento financeiro.

Temos diante de nós dois homens, duas personalidades, dois estilos, dois caracteres – e dois caminhos a seguir. Em essência, apenas interessam duas coisas: os modelos que corporizam, a cepa dos respectivos fiadores.

Costa, como revelou a infelicíssima aclamação do Syriza, aliada a um chuveiro de promessas e medidas aberto dia sim, dia não, não me parece um homem confiável. Tanto mais que hesita sobre as alianças a escolher, e não conseguiu cerzir as facções que se guerreiam no PS.

Costa elege o consumo e o investimento público como alavancas do crescimento; exalta a «economia do conhecimento». Mas o mercado interno é exíguo, o investimento público limitado pela escassez de meios do Estado, e a anacrónica estrutura empresarial do País, aconchegada na rotina, não comporta a modernização tecnológica em larga escala. O modelo não passa do prolongamento, com menos «faraonismo», do que nos trouxe até aqui. Desde 1996 que Portugal cresce pouco ou nada.

De Passos, como fiador, já disse o suficiente. Sublinho a integridade, a constância e a intrepidez, que o sentimentalismo indígena confunde com indiferença. Aposta na saúde financeira do Estado, na iniciativa privada voltada para o exigente mercado externo, que a prazo arrastará a gradual transformação da nossa estrutura económica arcaica.

Costa pensa com a cabeça keynesiana do século XX, quando havia fronteiras, alfândegas e moeda nacional. Passos pensa na globalização do século XXI, que rege um mundo sem distâncias e que já não dorme. O Estado não se ausenta nem se demite, mas já não pode garantir tudo. É para este tempo de incerteza, insegurança e risco que Passos nos quer preparar. Obviamente, voto Passos.






Pobres de nós


Vasco Pulido Valente, Público, 20 de Setembro de 2015

O dr. António Costa sabe que se perder em 4 de Outubro acabou politicamente. Depois de ter assaltado o PS e corrido à má cara com Seguro para ganhar à coligação, se não ganhar todo o azedume que contra ele se criou no partido virá ao de cima e ele não se conseguirá aguentar uma hora como secretário-geral.

A gente com que ele correu não esquecerá nem a brutalidade e a arrogância do método, nem que ele foi eleito pelo voto dos «simpatizantes» socialistas (uma categoria indefinível) e não pelos «militantes» (uma categoria, pelos menos, tradicional). Além disso, há Sócrates que, com razão ou sem ela, se sentiu «posto ao lado» (José Lello) e traído e que só espera uma boa oportunidade para o liquidar.

A política não é um jogo pacífico e António Costa, que o sabe muito bem, não se ilude com certeza sobre os perigos da sua situação. Uma única coisa o pode salvar: conseguir a maioria absoluta para o PS. Mas presumivelmente, e apesar da propaganda que se fez sobre o debate com Passos Coelho, não parece que chegue lá. Não admira que perante o que, para ele, é a ingratidão e a cegueira dos portugueses, Costa ameace agora arrastar o país consigo. Sem surpresa nenhuma para mim, que estava à espera de um golpe destes, o admirável candidato do PS anunciou anteontem solenemente no Seixal que não tencionava «viabilizar» (ou sequer negociar) o orçamento de Estado da coligação. Ele não ignora as consequências desastrosas para os portugueses desse acto suicida. Pelo contrário. De qualquer maneira, prefere um desastre com ele do que um desastre sem ele. Suceda o que suceder.

A Constituição não permite ao Presidente Cavaco dissolver a Assembleia até ao fim do seu mandato; ou que a Assembleia seja dissolvida nos primeiros seis meses do dela. O que significa que Portugal será obrigado a viver sem orçamento (e por duodécimos) no mínimo até Junho-Julho do ano que vem. O que lançaria as finanças públicas num caos, sem falar nas reformas de qualquer tipo, que teriam de ser metidas numa gaveta durante oito meses. Pior ainda, os mercados que hoje nos sustentam a juros razoáveis não tornariam tão cedo a emprestar um tostão à irresponsabilidade indígena.

Desde a I República que não aparecia um cacique da envergadura do dr. Costa na cena política portuguesa, pronto a meter o país no fundo por vaidade pessoal ou conveniências partidárias. Apareceu anteontem. Pobres de nós.